Ville de Seclin. La machine du monde, ou la vie de l’ouvrier.

Posted by Aldine on 19 août 2015 in |

Chantée par la Société de l’union ouvrière.

5e couplet

Cette machine qui jamais ne s’arrête,
C’est notre terre, le soleil, le foyer ;
Elle nourrit tous les faibles et les athlètes,
Les sages, les fous, le maître et l’ouvrier.
A l’ouvrier le maître doit l’obligeance,
C’est par ses bras qu’il habite un palais ;
Pauvre en naissant, il meurt dans l’indigence,
Voilà, Messieurs, la vie de l’ouvrier.

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Genre: Chanson
Série: années 1870 | Thèmes: SECLIN

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